Salut !
Le but de ce site est de vous faire découvrir les joies du monde des dividendes en mettant en avant une approche d’investissement basée sur les revenus. Le tout avec un regard neuf qui pourrait changer votre vision sur la Bourse. Elle est certes conservatrice et ennuyeuse, mais cruellement efficace à long terme pour créer une source de revenus stable ou compléter votre salaire ou retraite. Elle ne vous empêchera pas d’investir dans les mégatendances de demain.
Sur DivOptionZen, je partage mon expérience de plus d’une douzaine d’années en tant qu’investisseur particulier. Avec des trucs et astuces qui vous aideront à dénicher les meilleures actions à dividendes et bâtir un portefeuille prêt à surmonter tous les obstacles.
Mon histoire
Je m’appelle Sovanna SEK. Bientôt la quarantaine. Même si physiquement, je ne fais pas mon âge. Avant de tomber dans la marmite de la Bourse, j’étais salarié dans le bâtiment entre 2008 et 2014.
Au bout de ma deuxième année, je me suis aperçu que le bâtiment n’était pas fait moi. Pourtant, je suis resté pendant six ans sans savoir pourquoi. Cela m’a conduit pendant un certain temps, à tourner en rond, sans donner un sens à ma vie. Et n’oublions pas que nous n’avons qu’une.
Fort heureusement, la chance de négocier une rupture conventionnelle m’a permis de me consacrer pleinement à l’une de mes passions, la Bourse, et en faire mon métier. Au moment où je réalise ce site, je dispose de plusieurs casquettes : rédacteur chez divers médias financiers (ABC Bourse, Journal du Coin), formateur, coach, et investisseur.
En tout cas, je ne veux pas vivre comme mes parents. Car si j’avais persisté à écouter pour argent comptant leurs conseils, je prendrais ma retraite à 75 ou 80 ans. Ce n’est pas ce que je souhaite dans un avenir lointain.
Compte tenu des problèmes structurels du système de retraite par répartition, les chances de ne pas toucher pas une retraite progressent d’année en année. Non seulement, les coûts de santé vont grimper au galop. Mais le pire est que nous allons mettre fin à la mondialisation à tout-va, qui elle-même, va provoquer un enlisement de l’inflation sur des normes plus élevées que les deux dernières décennies.
Comme je n’ai pas envie d’attendre l’irrémédiable, mon objectif est de vivre de la Bourse (pas forcément du trading) pour être indépendant financièrement et me constituer une retraite respectable. Je sais que ce sera une route semée d’embuches. Mais au moins grâce à la Bourse, j’ai pu me réconcilier avec certaines disciplines que je détestais lors de mes études secondaires.
Si vous voulez investir en Bourse, pensez à forgez votre propre opinion
Mon expérience d’investisseur particulier m’a appris qu’il faut compter sur soi-même. Par exemple, en suivant les conseils des uns et des autres, vous n’allez pas progresser en matière d’éducation financière. Et d’ailleurs, un moment donné, vous le paierez cash. C’est pourquoi j’essaie de vous faire en sorte que vous ne fassiez pas des erreurs lors de vos premiers pas sur les marchés financiers.
En tout cas, être investisseur en Bourse, c’est :
- Supporter la solitude
- Assumer ses responsabilités
- Apprendre sur soi-même
- Connaître ses propres limites (Comme ne pas s’aventurer sur des investissements sur des secteurs dont on ne les comprend pas)
Le pouvoir des dividendes
Les actions à dividende sont comme si je percevais un pouillème d’une Ferrari ou d’une Porsche. À première vue, elles ne sont pas excitantes à mettre en avant. Pourtant, elles méritent un autre regard si vous cherchez profondément sous le capot. Eh oui ! À long terme, les dividendes jouent un rôle majeur dans la performance et le rendement de votre portefeuille.
Comme le montre ci-dessus, si vous vous focalisez sur les actions à dividende (les meilleures en particulier), le réinvestissement des dividendes et la puissance des intérêts composés sont responsables de plus de 80 % de la performance de l’indice S&P 500 depuis 1960.
Mais si nous décomposons la contribution des dividendes (partie bleuâtre) décennie par décennie, les fortunes sont mi-figue et mi-raisin. Durant les années 1940, 1960 et 1970, elle était importante. Par contre, les dividendes pesait moins au cours des années 1950, 1980, 1990, et 2010. Alors que dans le même temps, les gains en capitaux avoisinaient en moyenne des scores à deux chiffres. Cela s’explique par des entreprises ayant privilégié une politique d’allocation de leur capital pour financer leur croissance interne ou externe et réaliser des rachats d’actions.
En tout cas, si on excepte les années 2000 à cause des dégâts provoqués par l’éclatement de la bulle Internet, les dividendes disposent d’un pouvoir non négligeable pour fructifier le capital de votre portefeuille. Mais aussi ils vous seront utiles pour préparer votre retraite future.
Et c’est à partir de ces éléments ci-dessus que j’ai progressivement bâti ma philosophie et ma stratégie d’investissement. Non seulement, ils m’ont permis de prendre conscience de la valeur ajoutée du dividende sur une longue période. Mais aussi, cela m’évite de réaliser des erreurs d’investissement préjudiciables.
Ma philosophie d’investissement
- Focus sur les actions de belle qualité intrinsèque
- Focus sur mon cercle de compétences
- Approche essentiellement fondée sur l’analyse microéconomique (entreprises, consommateurs)
Ma stratégie d’investissement
- Priorité à la diversification internationale
- Business picking adapté en fonction de l’environnement inflation/déflation
- Évitez les secteurs/industries réglementés ou sensibles à l’interventionnisme politique
Devenez votre propre compagnie d’assurance avec les options
Savez-vous que l’assurance a été la clé du succès des premières années de Warren Buffett ? En effet, c’est un secteur de référence en matière de cash flow, qui lui-même, peut être utilisé dans des investissements déjà rentables ou pour financer des acquisitions. Aussi simple que possible, l’assurance génère des revenus sans mobiliser des capitaux importants. C’est pourquoi les options de vente (ou PUT) méritent un intérêt réel dans la quête de générer des revenus en plus des dividendes.
Lorsque vous achetez un PUT, vous possédez un droit de vendre des actions à un certain prix (prix d’exercice ou strike) à une certaine date (date d’expiration). Par exemple, si vous achetez un PUT au prix d’exercice de 40 € et l’action baisse à 35 €, alors vous pouvez exercer votre PUT et vendre les actions à un prix garanti de 40 €/action. Cette stratégie est utile pour protéger votre portefeuille ou des fins spéculatives (dans une moindre mesure) si vous ne voulez pas détenir des actions après expiration. Cela étant dit, il est possible de faire autrement. Vous pouvez vendre des PUT en étant de l’autre côté de la barrière, et donc devenir en quelque sorte votre compagnie d’assurance.
Le gros avantage des ventes de PUT est que vous pouvez générer de manière récurrente des revenus en récoltant une prime d’assurance. Au contraire, un achat de PUT vous oblige à sortir immédiatement de l’argent de votre proche. Maintenant, lorsque vous vendez une PUT, vous voulez que l’une des deux choses suivantes se produise :
- Le put expire sans valeur, c’est-à-dire le cours de l’action reste au-dessus du strike, ou
- La valeur de l’option de vente diminue au moins avec le temps afin que nous puissions le racheter pour moins que vous avez initialement reçu pour la vendre.
En gros, vous voulez que le PUT perd de la valeur par la hausse du cours de l’action, la valeur temps et le déclin de la volatilité implicite.
Toutefois, vendre des PUT comporte des risques à ne pas sous-estimer. D’où l’importance de faire preuve de rigueur en matière de capital et de tolérance au risque propre de chacun. Ainsi, si vous souhaitez générer beaucoup de revenus, commencez à retenir ces deux règles d’or : achetez une action que vous désirez avoir en portefeuille et avoir le capital nécessaire pour acheter l’action en cas d’assignation.